Nice rejoint le label « villes impériales »

C’est dans la plus grande ferveur que du 20 au 22 octobre Nice a rejoint le label « villes impériales » !

Patrick Ollier, maire de Rueil Malmaison n’a pas caché son émotion, voyant la grande famille de la culture napoléonienne continuer son essor.

Fort des 120.000 personnes dont les cœurs battaient à l’unisson quelques semaines plus tôt à Rueil pour son rassemblement impérial, Patrick Ollier, initiateur de ce mouvement culturel s’est félicité que Nice, par le biais de son maire Christian Estrosi, rejoigne ce groupe dynamique.

Présente au cocktail du vendredi 20 octobre, j’ai ressenti l’égrégore prometteur qui animait le cœur de tous les participants.

Si Rueil Malmaison avait donné la priorité et financé les reconstituteurs historiques qui étaient près de 6000 à défiler, habités par les valeurs napoléoniennes, Nice a commencé sa première participation par un cycle de conférences passionnantes animées par nos plus grands historiens français et un spectacle sublime le samedi soir. Les médias étaient présents et enthousiastes pour cette nouvelle étape !

La villa Massena, dans laquelle le cocktail s’est déroulé, nous transportait par ses peintures et son histoire au cœur de l’histoire glorieuse française des 1er et 2nd Empire.

Victor-André Masséna, Prince d’Essling, retenu à l’étranger, fut représenté par l’un de nos amis, Pierre Branda, Directeur du Patrimoine et des collections à la Fondation Napoléon.

En ce moment d’émotion, l’ensemble du monde napoléonien semblait soudé, les vieilles querelles oubliées et l’histoire napoléonienne, bien vivante et tant aimée, nous rassemblait dans une joie partagée.

Ce week-end, et plus que jamais, celui qui fut notre Empereur nous accompagnait et nous portait.

J’y fis un parallèle avec notre mouvement en plein essor, me remémorant cette phrase célèbre de Napoléon, récemment mise en avant dans l’exposition « Napoléon les 5 phases du triomphe », actuellement à Turin : « On ne conduit un peuple qu’en lui montrant un avenir ; Un chef est un marchand d’espérance. »

A nous, France Bonapartiste, dans cette débâcle, de montrer aux français le chemin de la réussite

Pascale LECA,
Responsable Relation Presse et Médias