Non à la légalisation du cannabis !

Communiqué de presse du 25 juin 2019

France Bonapartiste s’oppose à tout allégement répressive en matière de consommation de cannabis, et refuse toute idée de légalisation !

Dans son dernier rapport, le Conseil d’Analyse Economique – instance rattachée à Matignon et donc au Premier ministre – explique pourquoi la légalisation du cannabis permettrait de « reprendre le contrôle » face à « l’échec » de la politique répressive, outre un gain monétaire de 2,8 milliards d’euros de recettes fiscales qui irait directement dans les poches de l’Etat.

A ce rapport France Bonapartiste pourrait opposer des dizaines, voire des centaines de rapports, d’études ou d’analyses qui démontrent toute la nocivité des drogues douces [qu’est-ce d’ailleurs une « drogue douce » ?] et celle des drogues dures sur le cerveau des adolescents. Que dire encore des parents irresponsables qui feront ingérer de la drogue passivement à leurs enfants comme on ingère le tabagisme passif.

Comme il n’y a pas de fumette inoffensive, il n’y a pas de fumée sans feu et France Bonapartiste est certain que ce rapport est un ballon d’essai.

Par cela, le Gouvernement démontre, encore une fois, qu’il ne raisonne qu’en gestion comptable et libérale, à savoir « combien est ce que cela couterait au gouvernent et combien cela lui rapporterait ? ». France Bonapartiste se refuse à cette vision et ne voit avant tout que les bilans humanitaires et sanitaires.

Il n’y a pas, il n’y a jamais eu, en France, de véritables politiques répressives en la matière. Ce n’est pas en laissant courir et en laissant faire la plupart des consommateurs ou en condamnant certains à des amendes et/ou des peines de prison avec sursis que l’on va avancer positivement sur cette pandémie.

Le Gouvernement doit prendre de véritables mesures en amont, s’en donner les moyens et apporter de véritables moyens aux forces de l’Ordre, aux Douanes et enfin à la Justice.

France Bonapartiste n’accepte toujours pas la forfaitisation de la punition par une simple amende pour les consommateurs et refuse tout recul en la matière, et encore moins visant à sa légalisation.

Le Bureau National Bonapartiste