Mort du maire M. Jean-Mathieu Michel, la République endeuillée

Aujourd’hui un maire a été tué. Jean-Mathieu Michel est mort ans l’exercice de son mandat.

Comment ne pas faire le lien avec le préfet Érignac lui aussi représentant de la République et tué dans l’exercice de ses fonctions ?

Par leur mort c’est la République qui est atteinte, qui est touchée.

Auparavant on respectait le maire, l’instituteur, le gendarme. Aujourd’hui les élus comme les forces de l’ordre sont vilipendés. On ne les respecte plus, on leur crache dessus, on les menace, on les violente, on les agresse dans leur permanence ou dans leur mairie comme on agresse aussi les infirmières, les médecins dans les urgences, les pompiers sur le terrain.

Aujourd’hui la vie humaine n’a plus aucune valeur. On tue pour un doigt levé, pour une cigarette, pour des gravats…

Aujourd’hui les maires, écrasés par les responsabilités et les obligations, adressent un signal fort à l’état en se posant pour beaucoup la question de se représenter ou non aux élections municipales.

Encore une fois la peur doit changer de camp le respect doit être ré imposé, la justice doit passer et son bras ne doit pas trembler.

France bonapartiste apporte tout son soutien et toutes ses condoléances à la famille, aux amis de Jean-Mathieu Michel, et aux administrés de Signes