Un mineur de 15 ans poignardé à Avignon, une aide-soignante renversée volontairement après que son chien ait été écrasé à Lyon, un policier volontairement agressé au cour d’une rixe à Mâcon…
Un chauffeur de bus proprement exécuté pour avoir fait son travail.
Des pompiers et des Forces de l’Ordre attirés dans de véritables guet-apens à grands coups de feu d’artifice et de mortiers artisanaux quand ce n’est pas à balles réelles.
Des situations de guerres civiles armées entre différentes nationalités dans les quartiers sur fond de drogues où des solutions, communautaristes, sont discutées dans des lieux de cultes ou des MJC au nez et à la barbe des autorités républicaines…
Combien faudra-t-il de morts encore avant que l’Etat ne se décide à réagir ? Les gamins gavés de films violents étrangers, de réseaux sociaux plus anxiogènes les uns que les autres, de médias orientés et sous influence de la gaucho-sphère, de la facho-sphère, de la complot-sphère sous influences étrangères et/ou d’une nationalité, d’une religion romancée sont en totale perte de repères et des valeurs d’autant que reculent celles de la République.
Gouverner c’est choisir. Gouverner, c’est décider. Gouverner c’est trancher !
Ou on choisit de laisser pourrir la situation pour des intérêts que ne peut comprendre le peuple, ou on décide d’agir !
Des médias se complaisent dans l’anxiogène, mais le peuple ne vit pas dans la bulle éco-médiatique, le peuple subit l’insécurité. L’Etat doit affirmer et rétablir l’autorité. Cela ne peut passer que par un grand plan de construction de prisons, une tolérance zéro pour les délinquants. Qu’en donnant les moyens financiers, matériels, humains et législatifs aux Forces de l’Ordre, si ce n’est aux militaires (autres que la Gendarmerie Nationale et Mobile).
Il faut engager une réflexion sur d’autres pistes comme la sécurité privée, l’établissement ou le maintien de l’armement des citoyens armés en dehors de leurs services, des réservistes, retraités et titulaires d’une licence de tir et ce dans différentes catégories d’armes.
Sans autorité pas de liberté. La peur doit changer de camps, par le peuple et pour le peuple.
Grégory Baudouin