France Bonapartiste aux côtés des élus locaux

France Bonapartiste tient à apporter tout son soutien à l’ensemble des maires et élus municipaux qui font l’objet depuis plusieurs années d’agressions lâches et inexcusables.

Face à l’augmentation inquiétante du nombre d’agressions chaque semaine, il convient d’appliquer fermement les peines les plus sévères de notre outillage pénal, assorties le cas échéant de mesures réparatrices telles que des travaux d’intérêt communal. L’heure n’est plus au dialogue, contrairement aux orientations transmises par les derniers gardes des sceaux dans leurs circulaires récentes.

S’en prendre à un maire constitue une triple faute. C’est s’attaquer à des femmes et des hommes qui, pour la plupart, sacrifient de leur temps libre aux intérêts de leur commune et de ses habitants. C’est s’attaquer à un représentant de la population, élu par elle, choisi pour être le visage de la ville pendant six ans. C’est, enfin, et c’est ce qui distingue les maires des autres élus communaux et des parlementaires, s’attaquer à l’autorité de l’Etat frontalement, les maires étant de par leur fonction des officiers de police judiciaire.

A cette triple faute, doit coïncider une réponse pénale rapide, puissante et efficace. Face à des êtres lâches qui s’excluent de par leur bassesse du champ de la citoyenneté et de la communauté nationales, France Bonapartiste propose d’appliquer systématiquement des peines pécuniaires et d’emprisonnement, ainsi que des interdictions de paraître dans le département dans lequel a été commis l’agression.

S’agissant des binationaux, et parce qu’il s’agit d’un acte contre l’autorité de l’Etat, une réponse proportionnelle sera de déchoir de la nationalité et d’expulser ces individus du territoire national. Enfin, ces phénomènes qui se multiplient illustrent un des échecs de la décentralisation démesurée et incontrôlée.

Les maires de très petites communes sont dotés des mêmes pouvoirs de police que les maires des grandes agglomérations, sans pour autant bénéficier des mêmes moyens administratifs et humains pour assurer l’ordre. La décentralisation a fragilisé les maires des communes de moins de 5000 habitants. Il conviendra dès lors, en fixant le critère approprié, de renforcer les pouvoirs des préfets en matière de police administrative et de soutien des maires.

France Bonapartiste n’abandonnera jamais les élus du territoire national qui jouent un rôle essentiel et indispensable dans la marche de l’Etat.

Thierry Choffat, 1er adjoint à la mairie de Fraimbois

Marin Manzin, conseiller municipal de Grand

Adeline Guibert, conseillère municipale de Montastruc-la-Conseillère

Didier Fourot, conseiller municipal d’Aillant sur Milleron

Nicolas Moucheron, conseiller municipal de Sachy

Jordan Grosse-Cruciani, conseiller régional Grand-Est, conseiller municipal de Charmes

Prince Pierre Murat, conseiller municipal d’Aulnay-la-Rivière

Jean-Pierre Lemaitre, maire de Voyennes