Des paroles, des paroles, encore des paroles

« Nous sommes en guerre » disait, il y a peu, le Président de la République. Quand on voit la situation à Dijon, nous pouvons le penser. Comme l’a parfaitement dit le Procureur de la République, ces exactions sont le fait de manifestations communautaristes et racistes.

Elles sont aussi dues au climat délétère et factieux provoquées par certaines familles alliées à certaines organisations groupusculaires alliés, de fait, de parlementaires « représentants » de la république depuis plus d’un an et récemment. Elles sont de plus exacerbées par la peur qu’entretienent certains médias qui n’invitent que des représentants de l’ex FN.

Quand on voit l’armement dont dispose ces personnes, on en reste ébaubi et nous ne pouvons que repenser à ceux qui voulaient enlever les LBD aux Forces de l’ordre et (les même ?), qui voudraient leur interdire des mesures de soumission à mains nues.

Ici, il n’est plus question de mains nues, ni de LBD, ni même d’arme de poing ; à actes de guerre, actions de guerre. Le Gouvernement se doit donc d’envoyer sur place les effectifs nécessaires de Gendarmerie Nationale et de Gendarmerie Mobile avec les moyens ad hoc.

La République est une et indivisible. Elle ne peut se mettre à genoux devant le communautarisme, le racisme, la violence et les zone de non droit.

Force doit rester à la loi et à la démocratie.

Grégory BAUDOUIN
Délégué Sécurité et Défense pour France Bonapartiste